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Le sélectionneur de l'équipe de France analyse le match nul (2-2) contre l'Islande, pointant les mi-temps ratées et un relâchement défensif. Il se projette déjà vers le match décisif contre l'Ukraine en novembre. Bilan mitigé mais optimisme affiché.

Le sélectionneur de l’équipe de France a livré son analyse du match nul (2-2) contre l’Islande. Il a notamment pointé du doigt les premières mi-temps ratées des Bleus, similaires à la rencontre précédente. «Je ne peux pas tout expliquer», a-t-il déclaré, soulignant le manque de percussion face à un bloc dense. Il a cependant mis en avant l’opportunité de donner du temps de jeu à d’autres joueurs en raison des nombreuses absences.

Concernant le second but islandais, le sélectionneur a exprimé son mécontentement face au relâchement de l’équipe. «Cela ne doit pas nous arriver. On était peut-être en train de fêter le but. Se faire prendre et transpercer aussi haut… Cela ne doit pas arriver.» Il a également réaffirmé son désaccord sur le premier but islandais, estimant qu’il y avait une faute sur Koné, même s’il ne souhaite pas «résumer le match là-dessus».

Malgré un bilan de quatre points pris (victoire contre l’Azerbaïdjan et nul contre l’Islande), le sélectionneur a insisté sur l’importance du prochain rassemblement décisif contre l’Ukraine le 13 novembre. Il a réitéré sa confiance envers les joueurs présents, malgré les absents. La performance de Nkunku, buteur, a été saluée pour son efficacité devant le but, même si sa première mi-temps fut jugée difficile. La première titularisation et le but de Mateta ont également été soulignés comme des points positifs.

Le sélectionneur a conclu en relativisant l’accroc, rappelant que la qualification n’était pas possible dès le premier rassemblement et qu’il restait deux matchs pour atteindre l’objectif. L’équipe de France a encore toutes les cartes en main pour la qualification.